mercredi 14 septembre 2016

La Première classe avec Monsieur Powell - le 7 septembre 2016

Dans cette classe, nous avons appris à distinguer et à contextualiser la terminologie concernant l'étude et l'enseignement de l'indigénéité. Ainsi, nous avons appris les différences subtiles entre les mots « aborigène », « autochtone »,  « amérindien » et « Premières nations. » Ce que j'ai apprécié le plus dans ce processus était l'implication que le français au Canada a des aspects fortements locaux. C'est à dire, même si le mot « autochtone » se traduit en anglais comme indigenous, en français au Canada nous le comprenons en général comme référence aux premiers peuples de ce pays.

Au début de la classe, nous nous sommes présentés en embrassant un peu de culture autochtone. Nous avons formé un cercle et nous avons déclaré non seulement nos noms et nos lieux de naissance, mais aussi les lieux de naissance de nos grands-parents. Je pense que de telles activités sont d'excellents moyens pour l'importation et l'intégration de quelques influences et practiques autochtones dans une salle de classe.

Une question générale que je me pose est comment, en Colombie-Britannique, est-ce que nous pourrions intégrer plus de connaissances émanent de la confluence des cultures francophones et autochtones? Est-ce que c'est un but que nous devrions poursuivre avec vigueur dans cette province?

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